Les histoires provisoires reviennent !
Tout est possible dans cette mise en relation d’un travail en cours avec le public. En suspension entre deux rives, chacun participe de son écoute active.
Des langues qui claquent, clament et slament pour revenir à la source poétique de la parole et raconter le monde.
Comment construire sa vie lorsqu’on naît dans l’ombre d’une sœur disparue ? Avec L’ombre de moi-même (titre provisoire), mêlant auto fiction, motifs de contes traditionnels et chansons québécoises, Hélène Palardy rend hommage aux fantômes dont on hérite.
Si notre corps est constitué à 60% d’eau et si la nature de l’eau est de couler dans le sens du courant, sur quoi s’appuie-t-on intérieurement pour être capable d’aller contre le courant ? Avec Fleuve, nous entrons dans une traversée sonore et narrative portée par Amandine Orban accompagnée d’une musicienne.
Quand la maladie vient vous cueillir, surgit soudain l’urgence de réaliser ses rêves les plus intimes. Avec une grande sensibilité et une subtile distance, Sabrina Chézeau laisse la place à ces silences qui en disent long. L’audace du papillon est un récit où l’on suit le combat têtu d’une femme.
Chat-Potcalyse est un road-movie drôle et désespéré où il est question d’un pays où tout s’écroule, d’une milice clowno-militaire, d’un héros muet comme une tombe et d’Alfred de Musset. Écrit et porté par Tony Havart.