journée professionnelle ouverte À TOUS·TES / jour 2
* Télécharger le dépliant des Histoires Provisoires#2 – Jours 1 et 2
La Maison du Conte accompagne les projets de création des artistes issu·es du Labos, espaces de formation-recherche.
Au programme de la journée : les présentations d’une trentaine de minutes de 7 créations en devenir, et la nouvelle création de la Cie Les gens qui content.
INSCRIPTIONS JOURNÉE – RÉSERVATION DÉJEUNER
(formulaire à remplir en ligne : accès ci-dessous) :
PROGRAMME DÉTAILLÉ
De 9h30 à 12h – EXTRAITS DE CRÉATIONS EN COURS
—De l’eau à la bouche – Morgane Audouin et Laëtitia Madancos (Grand Est)
Une plongée dans les eaux du Point Triple en Haute-Marne.
Un endroit unique en Europe où le destin d’une goutte de pluie se joue à quelques mètres près. Direction la Mer du Nord, l’Atlantique ou la Méditerranée ?
—#MAMMOUTH – Raphaël Reuche (Bretagne)
Une histoire de résurrections multiples dans monde dystopique ultra connecté et publicitaire. Il y sera question de renaissance, de liberté et de résistance, où les seniors reprennent le pouvoir sur leur vie et leur image.
—Philoskoupidia – Mathilde Van den Boom (Île-de-France)
Au cœur d’Athènes, le quartier chic jouxte celui des anarchistes. Bazar, brasier, crise, chaos.
La vie quoi ! Entre récit intime et mythologie, carnet de voyage et grande histoire, la conteuse trace sa route.
De 12h à 13h – SPECTACLE EN INTÉGRALITÉ
—ORCA – Clara Guenoun, Nathalie Meurzec et Matthieu Beaudin (Île-de-France)
Cie Des gens qui content
Comment reconstruire l’absence, recréer une histoire singulière née d’un silence ? Est-ce que tous les secrets doivent être dits ?
Orca est une enfant née sous X puis adoptée sans que lui soient révélées ses origines. Enfant de personne devenue femme, elle part à la recherche de sa mère biologique.
De 14h à 17h – EXTRAITS DE CRÉATIONS EN COURS
—Mission Artémis – Maxime Touron (PACA / Bretagne)
Des Métamorphoses d’Ovide à Tex Avery, entre récit autobiographique, conquête spatiale et mythologie grecque, nous suivrons les tribulations intérieures d’un conteur en proie à ses paradoxes personnels.
—L’écho du silence de ma langue – Marie Carrère (Occitanie)
« Écoute le silence de ma langue, tu entendras l’écho qu’il fait dans mon vide, tu entendras ses notes dans mon accent… ».
Un voyage dans l’histoire de la domination française et de l’invisibilisation des cultures et des langues minorisées.
—Hybrides – Laure Missonnier (Nouvelle Aquitaine)
Bertrand, employé d’un supermarché, se retrouve mêlé à la vie de deux êtres hybrides qui l’emmènent de l’autre côté du film plastique, traversant la frontière entre le consommateur et le consommé. Et si nous changions de peau le temps d’un spectacle ?
—Par la racine – Juliette Malfray (Île-de-France)
La vigne est sa racine et son territoire. Juliette le traverse à grand pas, pour y lire le passé et le futur, interroger la ruralité et la profonde mutation de nos écosystèmes. In vino, veritas ?